DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- Haïti d’Après l’Apocalypse Moderne de la Légende de Baron Jovenel
Entre (), En chassant Jeff Sessions de la Justice, et Jim Acosta (CNN), de la Maison-Blanche, comme faisant partie du laps, le président se loge en solo auprès de l’élu Mr Speaker qui sait jouer à kilhoù koz. Aux abois est déjà un stigmate du colosse au pied d’argile. Fermons-les ().
Un peuple s’offre en prime de renversement politique du président haïtien en fonction pour le muter Lumarque ex-voto. Rions-en, puisque formule chinoise traversant la RD voisine. C’est élémentaire, mais légitime si je puise dans ma chronique sur la route du cinéma. Le jeu de la chandelle brûle des deux bouts chez nous puisque c’est le temps de la fin. Adeptes nés des épilogues je remonte bien avant la folle étude de l’ONG Small Arm Survey qui fit son beurre sur notre colérique misère dite apocalyptique où Securing Haiti’s Transition offrait l’aurore prophétique fragrance ONU, d’un nouveau jour désarmé. Dr. Robert Mugah PhD dit alors spontané, en entrevue (2005) à Genève, que le cas présente « l’Haïtien menteur collectif » tant on se reniait après accord collectif. Grande époque de projets de désarmement préconisé par le plan onusien, en réalité on combattait le développement du génie local qui fabriqua ses « zam kreyol » (propres armes). C’était le signe de la fin sinon, malgré le protestantisme chrétien de l’île d’ailleurs plus imbu de cette formule apocalyptique. Il y a non seulement de plus en plus d’armes, mais de plus en plus sophistiquées et nous payons la facture d’importation très cher pour un pays né de la guerre qui fabriqua ses boulets. L’apocalypse n’est donc jamais venue de cette façon sinon celle du projet. La peur inscrite par Martelly en 2004-2011 est réversible.
J’ai publié l’audace ou le pont de la réconciliation (23/06/2011) pour lier le devoir à la pensée tandis que sous la poussière du séisme (12/01/2010) naissait la nouvelle Haïti. Est-ce qu’on la comprend mal en ce temps d’inflation artificielle inversée qui propose Lavalas v/s Tèt kale car les deux sont nés de slogan. Péjoratif qui s’étend à plus d’une enseigne en République sur axe de peur d’imaginaire de revendication de surenchère, au lieu de récupérer nos standards volés.
(SGPH) la notion par le droit, P.8 https://issuu.com/jean-juniorjoseph/docs/haiti-observateur-12-19novembre. Pourquoi ?
Duvalier maitrisait l’après-Duvalier, il en est mort. Aristide idem, il est encore vivant. Préval, même spectre, il est mort. Martelly plus que Privert, les deux sont encore vivants, mais celui-ci est politiquement mort. Qu’en est-il objectivement de nos « oies sauvages » [les 3 survivants] quand l’observateur, de ses émotions crie : scénario 2004, tandis que l’on a peur de Nicolas ? Hélas Lumarque devient chinois par la RD, l’étranger est dans nos portes et doit faire avec une diplomatie intérieure en éphéméride. En retour incompris vers le point zéro. P.7 Mieux préparer 2021 https://issuu.com/jean-juniorjoseph/docs/haiti-observateur-10decembre2015/7
Mais il a fallu qu’on investisse à la mauvaise place, ce qui comme je disais sur la route du cinéma, va provoquer Le Procès Salvador, P.9 https://issuu.com/jean-juniorjoseph/docs/haiti-observateur-30oct-6nov2013. Boomerang, la scène change et revient en accéléré, formulons.
Un homme crie, il a un livre en main, il croit sa vie révélée. Il refuse de partir par apocalypse en république. Il doit partir en effet, c’est le genre que je gère comme en espace de littérature interdite, un canevas haïtien. Haïti est une vie de débâcle, un temps d’épilogue est prescrit, un temps, car il y en aura d’autres. Suis-je toujours haïtien si une inc. multinationale a récupéré le nom Haitian, en anglais. Elle fait des générations de vénus, de mars, de jupiter, ce sont des machines dans le molding du plastique. Non pas des lwa.
J’ai échangé sur le risque de perte de générique avec l’ami Léonard. Pire que l’apocalypse ignorée, que l’épilogue culturel la perte du génome haïtien serait une défaite amère collective où au matin (1) nous n’y serons pas. Gangan, Léonard fait dans la pratique de l’Ibo thérapie, il veut tellement que l’on s’en sorte qu’il adapte le Daho Ibo en thérapie de paix. Miroir de réflexion sur le passé ancestral puisé à la source même. Il est 12H71 dans la montre haïtienne lui dis-je, 13H ne doit arriver.
On était déjà au bord de ce gouffre avec Un cadavre haïtien dans les tiroirs du coroner Jean Brochu par la faute du président Martelly, mal conseillé par Laurent Lamothe. Cet article a peut-être sauvé le président de l’ignorance d’en face, mais les stigmates sont sensibles. Rébu.
L’homme qui tient le livre entre les mains, cet homme est le major Rebu qui se croit utile à la patrie, sa patrie. Il est dans l’esprit du manifeste celui qui porte le nom de sa job. C’était jadis. Duvalier est mort et enterré, les sbires sont au sépulcre. Le président apocalyptique est Jovenel Moïse qui se voit en ce lwa royal Henri 1er. Rébu n’est pas un lwa de 1804. Le fugitif.
Simulation de la fournaise de Jovenel : lettre posthume de Jean Jackson Michel exorcisé
Me Evinc Ducasse juge de paix titulaire, Tribunal de Saintard Arcahaie-Haïti. Objet : Plainte.
« Honorable Magistrat »,
« Je vous présente mes compliments pour le travail combien apprécié que vous faites au nom de la loi pour garantir aux justiciables le respect de leurs droits conformément aux idéaux de la constitution de 1987 amendée ».
« Par la présente, je me vois obligé d’attirer votre attention, 17 mois après un long périple de violations répétées de mes droits par le gouvernement dont vous servez et nous sommes tous concitoyens, je suis devenu aujourd’hui la cible à abattre pour empêcher que des pratiques arbitraires subies ne soient dénoncées. Des menaces pullulent depuis, contre ma personne et aussi contre ma famille à travers des appels téléphoniques, et le pire mon chien pour lequel j’ai un profond attachement (penia) a été froidement abattu dans mon domicile familial par des individus sans cagoule circulant à moto et qui profitaient arme au poing pour piller un chauffeur qui vendait de la glace dans toute la communauté en plein jour. Des rumeurs persistantes sur mon assassinat imminent par les membres du gang armé de la mairesse de la ville trainent sur les réseaux sociaux.
Hier, au téléphone l’un des maires assesseurs m’avait appelé pour s’informer de l’endroit où je pourrais me retrouver vers 4 heures pm sous prétexte qu’il comptait me rendre visite alors que sa voix circulait dans une bande sonore en pleine négociation avec les bandits dit-on très recherchés par la police.
À ce stade, je suis devenu nomade, sautant de maison en maison dans l’unique but de sauver ma peau et éviter que leur plan ne soit exécuté. Magistrat, les assassins sont dans la ville, très présent et très puissant par leur connexion ; les menaces sont réelles si l’on doit se référer aux pratiques d’exécution sommaire en mode normal dans la cité, et plus récemment à l’assassinat comme de rien n’était de Evens Alexis fraichement libéré par le juge d’instruction Berge O. Surpris qui instruisait le prétendu dossier d’attaque contre le cortège du président. Je vous le redis Magistrat, ma vie est en danger, seule la justice dans ses attributions a le devoir de voler à mon secours, c’est pourquoi, je vous en interpelle.
En attendant que des mesures urgentes soient prises pour garantir ma sécurité, je serai ravi de vous rencontrer sans délai pour vous fournir des informations beaucoup plus pertinentes pouvant vous aider à une bien meilleure appréciation de la situation.
Recevez honorable magistrat mes respectueuses salutations.
Jean Jackson Michel, route de Saintard, Arcahaie – [Note reçue au Greffe du Tribunal de Paix de Saintard le 10/10/2018 par le Greffier Donald Olivier]. Je rajoute : exigeons réparations !
Cette lettre est simulée posthume par le fait d’une part de l’épilogue apocalyptique pressentie où le jour-18 est d’un autre pays d’une autre nation, et d’autre part du silence du juge de paix dans sa considération troublante. On ressent la hâte puisqu’il y a épilogue programmé. Suite.
Commissaire Clamé sera accusé d’avoir reçu les fonds en rançon en (2) vagues, l’attenant du parti politique régional Gonaïves témoignera, l’argent provient de NYC d’après le registre.
L’apocalypse a précédé l’épilogue pour le citoyen Jackson puisque son fonds de commerce Enjoy Plaza est lapidé à l’Arcahaie peu après son internat politique forgé en mensonge, par le président que l’on croyait saint d’esprit. La police n’a délibérément rien fait pour protéger ses biens, au contraire. Il est fait zombi politique malgré le nouveau Code pénal sur le sujet, larveéconomique malgré la constitution en ses articles sur le bonheur. Le juge E Ducasse ne lui a d’ailleurs jamais répondu. D’où, dramaturgie insulaire : Zombi circule sans être vu ici et là.
J’ai signé en littérature interdite, sur la route du cinéma – oct. 2016, le Manifeste où j’explique que dans ce pays on porte le nom de sa job. Le Jackson de l’apocalypse est désormais Zombi, il se retrouve retenu candidat dans les Amours d’un zombi, film du cinéaste Arnold Antonin. Je dois interpeller tout le monde même Antonin, c’est la fournaise sous l’ère Jovenel 1er.
Mario Untel se croit Denzel, arrive en christsalvateur rédempteur exonéré d’offrande, mais histoire de mœurs cachée râle le droit de l’infante sans trahir citer le péché ni l’égo du pécheur de l’homme coupable, l’hommerie. Il se vante en postulat pernicieux : gracier reconsacrer par la suite pour faire taire le pétro-glas. Le Paradis aurait-il ici-bas un lâche infiltré, le toutiste, l’ancien cap’tain-fadh corrompu ; candidat, sort-il de Haiti 2016 Une avalanche diplomatique prévisible/part 2-1‘ en P.12: H-O/06/05/2015, P.5; H-O/29/04/2015 ?
Je suis assuré de la riposte placardée Haïti nouvelle, la série des grands procès de l’histoire vu que l‘Esquisse de solution à l’avalanche diplomatique prévisible P.7;H-O/13/05/2015 est niée.
Je crois l’Haïtien sur le retour vers le point zéro, là où l’on retraverse les zones de turbulence à contresens. Il fallait s’y attendre, on rencontre Avril contre Rebu cette fois-ci, car l’échec du coup d’état est vu avant la tentative tandis que l’on croit à une pourriture contemporaine. En effet, tout le monde crie au coup d’état puisque le scénario est en mode rappel sur le passé. Je ne nous vois pas en mode reset, mais en fast back (accéléré), heureusement. Le peuple s’affole personne ne comprend le sens et tous crient peur à la destruction. Peur sur la ville, l’Armée est revenue. Elle souffre de la même cécité qui écarte le citoyen haïtien réputé diaspora par ses études dans sa définition du postulant. Le spectre de la Diaspora est de retour, car les débuts opéraient par le don de détenir ce que l’on targue de green card, que dire d’une citizen card qui fait de nous l’agent désigné de la CIA, le savant étranger. L’homme à barrer.
Aujourd’hui c’est le transfert et les frais pour le fonds de l’éducation qui font la loi. Autrefois un mariage blanc promis suspendu contre les capacités de l’État. Une fois de plus objection au nom du peuple, on ne doit écarter diapo, le recrutement de l’Armée le fait malgré tout. Je publie alors comme à l’habitude cette chronique hebdomadaire qui reste après l’épilogue, tel le parchemin fourré dans une bouteille fermée qui flotte en remontant le courant de l’Afrique.
L’historien ne digère non plus, il doit attendre la fin du spasme pour redevenir pro. Republica, on est aux abois avec le procès sans timbre non consolidé. Luco Désir en intrigue politique puisqu’il dévore les ondes, crie à l’occupation. Bob C démontre ne pas avoir agi en pézé kafé quand Mélissa crie « manman sé wou ki metem nan sa », elle déclare le contraire. Il faut traduire interpréter. Quand on est imaginaire, on imagine. On cède la part de souveraineté par dépit. S’il faut un responsable, il faudra un coupable aussi, Me R Fièvre à Pétion-ville, le sait. Jean Fombrun Geoffrion en gandi.fr sait tout de Lamothe à Martelly (voir La série des grands procès de l’histoire ou le malaise d’un retard annoncé P.4;H-O/6/11/2013. Apocalypse !
Le Canada est ‘OFF’ en intelligence globale. Paris par manno Macron feint la candeur, mais attise le feu, profite des zones d’ombre, mais ignore notre pacte invisible au son qui renoue.
J’aurai entre temps plus d’une autre chronique sur la diplomatie. Adieu (régional vaudois) !