Le Mensonge comme Acte de Foi

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • Le Mensonge comme Acte de Foi
    • Entre (). « La cage aux folles est-elle plus qu’une foire en ville ? Fermons-les ()

Heureux le bondieusard, la piété n’est plus globale, exéat. L’oratoire à ravir ne renferme nulle marche d’escalier ni d’acte de contrition au mensonge comme pensum. Le compérage est le soutien tacite comme acte de négligence politique à la candidature du mensonge, servi au menu de communications média. Il faut enrôler le naïf qui consomme. Experts sans fonds de commerce depuis les prédictions sur Donald Trump à la SRC afin de se croire professionnel. Hélas, subvention déguisée pour nid de colombes, ravie par rapaces-maison. Ici, le QC est vraiment solidaire en ce sens factuel à la RCI. Sauf quand on se supporte en congé maladie au micro ou par-devant la caméra. Bingo, toujours les mêmes pots-s, c’est la meringue je t’invite tu m’invites nous n’invitons pas les autres. Prière du bourg de la basse-cour, pas d’griot. Surtout s’il se titre Bugingo. Précuit. Menteur, Marissal alors, il poursuit ?

Si le Québec fait foi à ses journalistes comateux qui attendent une infusion politique favorable pour se faire du fric à l’assemblée ou sur la colline, la laideur de l’acte va trop souvent à une forme gulaire de l’ancien prédicat qui réclame le béni-oui-oui, curé déchu animé de recettes. GN Dubois n’est autre que, ce type de défenseur qui réclame du peuple, une couleur ignare pour garantir un état communiste fade. Hélas, comateux de ses chroniques favorisées, la même sauce-poutine, il n’a encore appris le lexique de Macron & Macron à l’Académie tant il aurait pris l’habitude de sécher les cours par la grève et non par le buvard de l’intelligence. Il n’y a plus de bugingo belge obligatoire, on peut être carrément bizango par la vertu de l’épée de legba qui siège haut le front au point de se faire citer de l’histoire et de l’institut. C’est là la dictée des mots invisibles où menteur s’écrit marissal désormais, avec complément nadeau.

Pivot l’ignore encore ? Au moins, laissez-nous notre jugement sans salaire !

Ceux qui refusent de couper du bois de la prairie, mais qui offrent des services de consultation politique à Montréal, devraient mieux faire aux études que de sirop-ter la p’tite bière pour sécher les cours-en grève afin de tromper le public plus tard. Non, j’enrage contre ce « diner d’cons » qu’on nous présente. Vincent Marissal est menteur point. Pas moins que celui à qui l’on a enlevé tous les crédits en gardant ces acquis du mensonge en reportage parce qu’il n’est de la couleur de la meute.

Imaginons le lot de mensonges en reportage. Vincent Marissal qui se cacha derrière un micro, un clavier pour. Un menteur est un menteur, point est besoin de Pinocchio au pays des lettres.

Qui est-ce Vincent Marissal pour Rosemont quand Chantal Hébert nous dit le 11-04/5h19 à Gravel le matin « mon ami et ex-collègue Vincent Marissal dans le même contexte comparatif avec « Jagmeet Singh dans Outremont ». C’est un plumitif fabulé, guindé de la bière en gang peut-être. Non, quand on dit ne pas dire la vérité en politique, ça fait de la collusion après.

Espérons que la SRC ne le reprenne, gonflé comme expert au « mensonge », contrairement au sort réservé à ce p’tit afromonde qu’on s’évertue à compresser pour qu’il n’y revienne plus.

C’est la formule du prêtre belge qui combat le vodou africain par le fusil et la bible tout en se faisant exorciste de la folie furieuse de son clan d’émules du Vatican, coupable caché toléré.

La recette-Bugingo, il faudra bien fouiller chez Marissal aussi, car Bugingo a été apprenti.

Bons baisers de quai Conti !